Paludisme : une nouvelle molécule au potentiel thérapeutique
Pour la première fois, une molécule capable de bloquer l’invasion des cellules sanguines par des espèces du genre Plasmodium, parasites responsables du paludisme, vient d’être identifiée et décrite par des scientifiques du CNRS, en collaboration avec leurs collègues américains et anglais. Cette étude qui vient d’être publiée dans la revue Nature Communications, confirme le rôle essentiel joué par le moteur moléculaire des parasites dans leur progression dans l’organisme humain et leur pénétration dans les globules rouges, à l’origine des crises que provoque la maladie. Ce moteur présente également l’avantage d’être retrouvé dans toutes les formes que peuvent prendre les parasites au cours de l’infection.
Laboratoire de la circonscription Paris-Centre impliqué dans cette étude :
- Biologie cellulaire et cancer (CNRS/Institut Curie)