Des mécanismes épigénétiques spécifiques aux femmes pourraient contribuer à la progression tumorale

Communiqué de presse Biologie

Des travaux décrivent le rôle épigénétique d’un ARN non-codant dans le développement de tumeurs agressives, notamment dans le cancer du sein. L’étude, menée en collaboration entre l’Institut Curie, l’Inserm, le CNRS, l’Institut Paoli Calmettes, Aix-Marseille Université, vient d’être publiée dans la revue Cell. Ces résultats pourraient expliquer plus largement des biais de genre dans la prédisposition à certaines pathologies.

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Laboratoire de la circonscription Paris-Centre impliqué dans cette étude :

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