Les nouveaux membres élus à l'Académie des sciences affiliés à la délégation Paris-Centre

Distinction Institutionnel

Dès 2025, l’Académie des sciences va accueillir 18 nouveaux membres, scientifiques d’exception et figures de proue dans leurs disciplines respectives : la cérémonie de réception des nouveaux élus se tiendra sous la Coupole de l’Institut de France le mardi 3 juin 2025, de 15h00 à 17h30, au son des tambours de la Garde républicaine.

Parmi ces nominations, permettant de promouvoir l’excellence scientifique française et internationale, figurent quatre lauréates et lauréats affiliés à la délégation régionale Paris-Centre. 

  • Aleksandra WALCZAK, Directrice de recherche CNRS, laboratoire de Physique de l'École normale supérieure

Physicienne de formation, Aleksandra Walczak explore les lois de la nature en confrontant sa compréhension des processus biologiques à des données quantitatives. Elle propose des algorithmes avancés d'analyse de données et des modèles quantitatifs, dont les prédictions peuvent à leur tour être testées. Plus d’informations sur le site de CNRS Physique

  • Gérard BIAU, Professeur à Sorbonne Université, directeur du Laboratoire de Probabilités, Statistique et Modélisation (LPSM)

La recherche de Gérard Biau est à la rencontre des statistiques mathématiques et des algorithmes d’apprentissage par ordinateur.

  • Pierre PAOLETTI, Directeur de recherche Inserm, Institut de Biologie de l’École normale supérieure

Pierre Paoletti est sans conteste un des meilleurs neurobiologistes français de sa génération, de renommée mondiale. Son travail illustre à merveille l’importance des approches structure-fonction de molécules biologiques cruciales, menées à un niveau de précision exceptionnel.

  • Mickaël Tanter, Directeur de recherche Inserm, professeur à l’ESPCI, directeur de l’Institut de physique pour la médecine

Ses recherches sont à l’interface entre physique, biologie et médecine. Elles portent sur la mise au point de techniques et de méthodes reposant sur l’utilisation d’ultrasons pour l’exploration de fonctions biologiques, la mesure de leurs caractéristiques, voire l’activation de neurones, et bien sûr sur les applications médicales de ces techniques. Plus d’informations sur le site de CNRS Ingénierie 

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